dimanche 6 août 2017

Ma routine québécoise


OH QUE C'EST PAS CHAUD!
Mais quel contraste... Autant j'ai suffoquée dans le Sud (probablement à cause de ma nouvelle routine d'exercices 5 minutes au heure, 10 fois par jour), autant le Québec me gèle le derrière depuis mon retour. C'est vrai que, début juin, dans les Laurentides, je ne m'attendais pas à un miracle, mais là, en plus, avec la quantité phénoménale de pluie reçue, on a un envahissement record de moustiques qui piquent. Et le froid ne les dérange même pas, ils sont affamés.
Ça me donne l'occasion de faire la lecture de mes revues des derniers 6 mois, et Normand prépare la mise à l'eau de notre petit voilier.

En manches longues et avec un moustiquaire sur la tête.
Il faut aussi démêler le gréement avant l'installation du mât.

Finalement, à cause de la pluie, le voilier ne fût mis à l'eau que le 2 juillet, et notre première sortie était le 5 juillet.

L'intérieur de la cabine n'est pas finalisé, mais on avait trop hâte de l'essayer.
Normand installe le génois et, c'était concluant... On est toujours aussi passionnés.
La cabine, une fois tout installé.

Pendant ce temps, la faune se manifeste toujours autour de la maison. Cette année, j'ai beaucoup moins de ratons laveurs mais, un p'tit nouveau qui se pointe quotidiennement.



Je l'ai appelé «Mimi» ma moufette. J'ai pas pris la chance de vérifier son sexe.

Et voici «Didi» ma dinde sauvage. Elle se pointe surtout le matin.

Autour de la mi-juillet, les oisillons commencent à sortir des nids donc, beaucoup de piaillements près de mes sites de nourriture.

Pic Flamboyant sur le terrain.
De face. On voit sur sa poitrine la «tache» noire en forme de coeur.
Un p'tit jeune sur le balcon.



Notre petit voilier en promenade.


Samedi le 29 juillet, une drôle de visite sur mon terrain...

Une Colombe.
Elle a l'air irréelle, comme un «ange». Et c'est probablement une prémonition de ce qu'elle deviendra.

Pensez-y si vous désirez faire une envolée de colombes pour une occasion spéciale.
Elles sont élevées en captivité et, une fois envolées, elles se dispersent dans la nature. Incapables de subvenir à leurs besoins, elles deviennent des proies faciles pour tout prédateur.


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