mercredi 22 novembre 2017

En transit à Montréal


Notre maison du Nord est maintenant louée pour l'hiver. Nous sommes donc à Montréal, en attente du départ vers le Sud.

Voici donc un petit retour sur les derniers mois.

Le 8 octobre, les couleurs sont encore belles et les arbres sont encore plein de feuilles (normalement les couleurs, dans le Nord du Nord, sont terminées à cette date)

Le 11 octobre, petit saut à Montréal pour quelques achats.


Mont Gabriel, sur la 15 Sud.

Les couleurs à St-Sauveur.

Tout un contraste... Les couleurs commencent à peine.

Encore vert...

Et même très très vert!!!

On revient à la maison et retrouvons nos paysages bucoliques.

On a même des arbres complètement dénudés.

À peine une semaine plus tard, soit le 17 octobre...

Nos premiers flocons, dans le Nord.

Puis, retour dans la «Grand Ville» pour attendre notre départ en décembre.

Même ici, la faune vient me faire des clins d'oeil...

Et enfin, le 19 novembre...

La première neige sur Montréal.


samedi 7 octobre 2017

Fin de l'été, début des couleurs


Finalement, après une longue attente, on a enfin eu un été. Ça aura duré du 12 au 27 septembre (chez-nous, dans l'Nord).

Normand en a profité pour peaufiner le stationnement de notre petit voilier. Il a maintenant SON «spot» d'entreposage à lui (le voilier, pas Normand).




Avec cette belle chaleur, l'inconvénient a été l'absence de vent. Pour faire de la voile, c'est pas évident!!! Par contre, le bel anticyclone qui s'est installé sur le Québec, a amené sur nos terrains un record de papillon Belle-Dame. L'absence de vent en altitude a freiné leur descente vers le Sud. On a donc laissé pousser nos pissenlits pour leur permettre de se sustenter pendant leur séjour.






Et pendant ma «chasse» aux papillons, j'ai aussi croisé ceci sur le terrain:








Et avec ça, le début des belles couleurs d'automne:










On a quand même pu profiter de quelques rares journées, de vent très faible, pour se balader sur l'eau.





Le nettoyage de l'immense fenestration de la maison, début octobre, et l'arrivée de mes dindes sauvages.


Elles m'ont vu m'approcher des fenêtres trop propres... mais ça courent pas vite vite.

Puis, de ma fenêtre, en ce moment...


jeudi 14 septembre 2017

La suite de mon été


Que dire, ou écrire, sur IRMA.

C'est la désolation totale. Saint-Martin/St. Maarten était l'île où tous les navigateurs faisaient les réparations/provisions nécessaires à leur séjour hivernal. C'était vraiment le centre névralgique de la réparation de bateaux. Les Îles Vierges Américaine étaient aussi un bon endroit. Il ne reste maintenant que la Martinique, mais les prix sont vraiment beaucoup plus dispendieux.

Notre navigation de l'hiver prochain sera donc modifiée... Nous irons à la découverte de nouveaux paradis.

En attendant, je poursuis mes observations autour de la maison. Comme on n'a pas un super bel été pour sortir dehors, j'observe de l'intérieur.

Une grosse famille de Geais Bleus.

Bébé cri à la bouffe et

Maman arrive.

Et maintenant, un drôle de Geai bleu



Pas de plumes sur la tête!!! J'en ai vu deux ainsi.


Puis, au détour du balcon, une drôle de chenille:



On voit même son petit oeil noir.


Vous vous souvenez de «Mimi» ma moufette (voir note précédente). Et bien! j'avais qu'en même raison de croire que c'était une fille. Elle m'a amené un de ses bébés (j'ai vu par la suite qu'elle en avait eu deux).

Je l'ai appelé «Bibi» et il est beaucoup plus craintif que sa mère. Je dois sans cesse surveiller où il dirige sa queue...


AGRÉABLE SURPRISE! L'été est arrivé, enfin, le 11 septembre. Alors, direction voile, voile et voile.

La montagne nous montre déjà ses couleurs d'automne.




Cette libellule est venu se reposer une bonne demi-heure dans le cockpit. Remarquez le magnifique «dessin» sur son dos.

En revenant au quai, à 17h00, une autre belle surprise...


Une femelle orignal. Aucunement appeurée, elle a continué à se promener autour de nous, même si on bougeait.

Elle s'est même approchée plus près pour manger quelques feuilles.

On continu à profiter de la nature et des beaux jours.

dimanche 6 août 2017

Ma routine québécoise


OH QUE C'EST PAS CHAUD!
Mais quel contraste... Autant j'ai suffoquée dans le Sud (probablement à cause de ma nouvelle routine d'exercices 5 minutes au heure, 10 fois par jour), autant le Québec me gèle le derrière depuis mon retour. C'est vrai que, début juin, dans les Laurentides, je ne m'attendais pas à un miracle, mais là, en plus, avec la quantité phénoménale de pluie reçue, on a un envahissement record de moustiques qui piquent. Et le froid ne les dérange même pas, ils sont affamés.
Ça me donne l'occasion de faire la lecture de mes revues des derniers 6 mois, et Normand prépare la mise à l'eau de notre petit voilier.

En manches longues et avec un moustiquaire sur la tête.
Il faut aussi démêler le gréement avant l'installation du mât.

Finalement, à cause de la pluie, le voilier ne fût mis à l'eau que le 2 juillet, et notre première sortie était le 5 juillet.

L'intérieur de la cabine n'est pas finalisé, mais on avait trop hâte de l'essayer.
Normand installe le génois et, c'était concluant... On est toujours aussi passionnés.
La cabine, une fois tout installé.

Pendant ce temps, la faune se manifeste toujours autour de la maison. Cette année, j'ai beaucoup moins de ratons laveurs mais, un p'tit nouveau qui se pointe quotidiennement.



Je l'ai appelé «Mimi» ma moufette. J'ai pas pris la chance de vérifier son sexe.

Et voici «Didi» ma dinde sauvage. Elle se pointe surtout le matin.

Autour de la mi-juillet, les oisillons commencent à sortir des nids donc, beaucoup de piaillements près de mes sites de nourriture.

Pic Flamboyant sur le terrain.
De face. On voit sur sa poitrine la «tache» noire en forme de coeur.
Un p'tit jeune sur le balcon.



Notre petit voilier en promenade.


Samedi le 29 juillet, une drôle de visite sur mon terrain...

Une Colombe.
Elle a l'air irréelle, comme un «ange». Et c'est probablement une prémonition de ce qu'elle deviendra.

Pensez-y si vous désirez faire une envolée de colombes pour une occasion spéciale.
Elles sont élevées en captivité et, une fois envolées, elles se dispersent dans la nature. Incapables de subvenir à leurs besoins, elles deviennent des proies faciles pour tout prédateur.