jeudi 6 novembre 2014

L'été au Québec: 3e partie


La redécouverte de mon environnement:

Avec un peu... beaucoup de retard, je sais. J'avais sous estimé la préparation de la maison pour la location de la saison hivernale. Le pire... À chaque année c'est la même chose. J'ai toujours l'impression qu'avec le temps, le grand ménage sera plus facile. Pantoute! On vieillit juste un peu plus donc, c'est toujours plus ardu.

Voici donc un aperçu de l'environnement dans lequel ma saison estivale s'est déroulé.

Une des premières découvertes, cet énorme champignon. C'était fin juin, et j'en ai jamais revu d'autre aussi gros.

Par contre, comme celui-ci, genre balle de golf, il y en avait plusieurs.

Une autre belle surprise, ce bouquet de champignons. Tout minuscule et pourtant bien organisé. Comme un petit village.

En vue latérale.

En voulant prendre une photo, j'ai remarqué dans les petites roches concassées, qui se trouvent près de la maison, ces roches placées comme un pied... et c'est pas arrangé avec le gars des vues, promis.

Remarquez... c'est presque trop synchro. Normand l'appelait «le pied du cadavre la tête en bas».

Et maintenant, les nombreuses bibittes qui m'entoure.



Toujours rigolo à voir, cette espèce de chenille, avec son déplacement bizarre.

Et celle-ci, elle est vraiment superbe.

Et les chenilles donnent en général...

ceci.

Est-ce le même les ailes fermées?

Ceux qu'on appellent les «papillons de nuit».

Et là... un mini minuscule. Il fallait être attentive pour le trouver.

Et un soir, il y en a un qui tourbillonnait autour de ma carte du monde. Cherchait-il un voyage futur?
Son choix est fait...
C'est l'Île Tromelin, dans l'Océan Indien. Très bon choix.

Libellule. J'avais jamais remarqué les couleurs sur le corps.


Coléoptère de la famille des Coccinellidés.

Et ici, famille des Chrysomélidés.
La différence entre les deux, outre la couleur, elles ne mangent pas la même chose. La première s'attaque aux pucerons, et l'autre mange les plantes.



Une belle grosse mouche.

Et une araignée.

Et, une fois à Montréal, cette énorme et superbe araignée dans sa toile. Elle a fait son apparition le 31 octobre (pour l'halloween), et n'est jamais revenue.

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