



















Notre rendez-vous à la marina «Grenada Marine», pour la sortie de «Sweet Madame Blue», était pour le lundi 14 mai 2012. C'est donc la veille, à 13h20 (j'aurais dû écrire 13h13 pour être exacte), que nous avons quitté Whisper Cove. Une petite navigation, mais avec des vents de 20 nd dans l'pif et des vagues de 9'. Nous avons pris un des «mooring» de la marina à 15h13. Le lendemain, c'est à 13h00, tel que prévu, que notre voilier fût sorti de l'eau.
Quelle belle surprise. Très peu de «barnacles» sous la coque. L'antifouling a fait son travail. L'année dernière, pour la même période d'immersion, soit un an, la coque était pleine.
Un bon nettoyage quand-même.
Après 3 jours intensifs de rangement, «Sweet Madame Blue» est fixée solidement et prête pour son «éténisation» (mot inventé qui est l'antonyme d'hivernisation) durant la saison cyclonique. Le mercredi 16 mai, Harry (le chauffeur de Whisper Cove) vient nous chercher à 17h00, car c'est sur le catamaran «Silya», de Sylvain et Mireille, que nous passerons notre dernière nuit dans les Antilles. Retour au Québec demain matin, le 17 mai à 7h30. Et pourquoi ne pas avoir couché sur notre voilier? Pour sauver 30 minutes de route, demain matin, et avoir une nuit un peu plus longue.
Le Père Noël rentre au Pôle Nord! Avec cette barbe, on le croirait presque.
L'embarquement à l'aéroport de Grenade.





Nous avons un vol direct Grenade/Toronto, avec Caribbean Airlines, puis, après une attente de 3 heures, Toronto/Montréal avec Air Canada. Une chance qu'une préposée avec chaise roulante m'attendait à Toronto. Ouf! Aussi gros que l'aéroport de Miami. Il nous a fallut prendre 5 ascenseurs et le mini-rail pour nous rendre à la porte d'embarquement.
Départ de Toronto. Avec la couverture nuageuse entre Grenade et Toronto, je n'ai pu prendre de photos.
Toronto et le lac Ontario.

Là, ça devient évident.
L'Oratoire St-Joseph.
Et «Orange Julep» près de l'autoroute Décarie.



Nous approchons de Montréal.



Nous serons donc au Québec jusqu'au 18 novembre, afin de respecter la période de «moins de 183 jours» exigée par la RAMQ.
À toutes celles et ceux qui me lisent, via se blogue, revenez y jeter un coup d'oeil à l'occasion. J'y mettrai certainement quelques photos et commentaires durant mon long séjour au Québec.