mercredi 24 juillet 2013
Réflexion
«À force de tout faire pour éviter les mauvaises surprises, on finit par rater les bonnes, aussi.»
(Marie-Sabine Roger)
mercredi 19 juin 2013
L'aventure, c'est de l'aventure...
NOTE: La suite est écrite. Voir plus bas.
Je sais... j'ai bien vu que plusieurs attendent des nouvelles. Il faut croire que reprendre le train-train quotidien du Québec est plus long que prévu, ou que je suis plus lente qu'avant, ou plus vieille, ou tout ça en même temps... Bref, avant de vous relater l'Aventure de notre retour au Québec (oui oui, avec un «A» majuscule), je vais terminer la description de notre séjour dans les Caraïbes.
Tout d'abord, il y a eu de gros travaux de fait à la marina de Whisper Cove: agrandissement de la salle à manger du restaurant, 3 nouvelles terrasses avec parasols, dont 2 sont déjà terminées, et les douches, près du quai principal, sont enfin complétées.
Gilles, le propriétaire, recouvre la nouvelle partie de la salle à manger...
sous les encouragements de quelques clients.
Je testais aussi la précision du zoom de ma petite caméra sous-marine.
À droite, les nouvelles cabines de douche. La planche manquante est volontaire. Ça permet une superbe vue sur l'eau pendant que nous sommes sous la douche. Ça vous donne aussi une bonne idée de la distance que j'étais pour prendre les photos du proprio., sous l'enseigne «Whisper Cove Marina».
Deux des trois terrasses.
Point de vue lorsque nous y sommes assis. À quoi pense-t-il?
L'aménagement paysager. Rien n'est laissé au hasard.
La partie non peinte est celle qui a été agrandie.
Et, de l'autre côté, la section du Bar et le coin internet.
Vue du deuxième étage de la marina. Nous sommes le deuxième voilier sur la droite, juste après le catamaran...
de mon ami Sylvain (Silya).
ENFIN... LA FIN D'LA SUITE.
Tout d'abord, pour bien comprendre notre KARMA avec les voyages en avion, il vous faudrait lire, ou relire, le texte du 8 juillet 2011.
Bon... j'espère que je vous ai laissé assez de temps.
Maintenant, l'Aventure...
Il faut comprendre que, lorsque nous sommes à la marina de Whisper Cove, à Grenade, nous avons l'accès wi-fi en permanence (ou presque). Nous avons donc acheté nos billets d'avion, pour notre retour au Québec, avant de quitter la marina à la fin janvier 2013. Ça ressemblait à: Départ le 16 mai de Grenade à 7h30 (Caribbean Airlines), escale à Toronto puis, Toronto/Montréal (Air Canada) pour une arrivée vers 16h00.
Une fois en navigation, je n'ai que via les ondes radio (radioamateur) pour envoyer ou recevoir des messages, et ça demeure très très limité. En fait, il n'y a que quelques privilégiés qui peuvent m'envoyer des messages. Donc, de la mi-janvier à notre retour à Grenade à la mi-mai, je n'ai pratiquement pas accès à mes courriels reçus, à moins de courir les cafés internet. Aux Îles Vierges Américaines, Normand avait trouvé un restaurant chinois, près du Pueblo, mais ça demeure assez loin. Ce n'est que dans le lagon de St-Martin que nous pouvons aller à la crêperie/pâtisserie à tous les matins, ce que Normand faisait d'ailleurs, en prenant soin de me ramener croissants et chocolatines. Ce n'est finalement qu'au début du mois de mars, que nous avons vu plusieurs messages de rappeler Expédia, pour des changements dans nos vols de retour. Après 55 minutes sur Skype, et une communication pas extraordinaire (je devais hurler pour me faire comprendre), notre vol avait changé du 16 au 17 mai puis, finalement, le 14 mai avec 2 escales soit Trinidad et Toronto. On arrivait à Montréal autour de 18h00. Bon, sauf pour le 2 jours plus tôt, c'était pas si pire.
Et bien, la saga des billets n'était pas terminée... Une fois aux Saintes, j'ai dû rappeler pour un autre changement, mais d'horaire cette fois. Au final ça donnait ceci: Départ le 14 mai de Grenade à 7h50 et arrivée à Port of Spain, Trinidad, à 8h30... 6 heures d'attente avant de repartir à 14h35 pour Toronto (les deux vols avec Caribbean Airlines) puis, 2.5 heures d'attente pour un dernier vol à 23h00 (Air Canada), direction Montréal, avec l'arrivée à 00h15. Avec le nombre d'escales et d'attentes, c'est déjà plus chiant comme situation mais... je n'ai pas vraiment le choix sinon, plus dispendieux et devons attendre d'être de retour à Grenade pour avoir une meilleur connexion. Pour pas prendre de chance, j'ai donc accepté et, même une fois à Grenade, nous avons bien tenté de les rejoindre, mais c'était impossible. En passant... je sais maintenant que nous aurions dû utiliser le numéro de téléphone en Ontario, et faire un appel à frais virés.
C'est le 7 mai que nous avons quitté la marina de Whisper Cove. Nous y étions depuis le 17 avril, et nous avons eu le temps de faire un bon ménage avant le rangement (éténisation) de 6 mois. Le lendemain, le voilier était sortie de l'eau à la marina Grenada Marine, et nous avons terminer les préparatifs du départ tôt le 13 mai au matin. Ça nous a permis de profiter de la piscine de notre hôtel, à 5 minutes de l'aéroport. La nuit fût courte et difficile: matelas qui couine, oreillers trop molles, chaleur étouffante (même avec la supposée climatisation). Nous étions debout à 4h45 et Gustin (notre chauffeur de taxi) était au rendez-vous à 5h15. On passe à l'enregistrement des bagages; Normand 23 kg et moi 19 kg (nous avons droit à 25 kg chacun en soute). Après... la fouille de tous les bagages de la cabine, avant de se rendre dans la salle d'embarquement à 6h15.
Nous entrons les premiers dans l'avion à 7h15 (privilège de ma sclérose en plaques) et, comme l'avion est prête à 7h35, nous décollons en direction de Trinidad, avec atterrissage à 8h10. Cette fois, nous sortons les derniers (en toute chose, la nature tend à rétablir l'équilibre).
Cette fois, je n'ai pas de chaise roulante mais, comme j'ai vraiment beaucoup beaucoup de temps devant moi, j'avance lentement sur le tarmac. Une gentille dame réussi à me trouver une chaise, et nous traversons les dédales administratifs pour nous installer dans la salle d'embarquement, à 9h15. Comme il n'y a qu'un comptoir restaurant/dépanneur, je prend un muffin-café et Normand un croissant-café. À 10h00 on s'installe pour faire de la lecture, mais Normand abandonne vite, pour s'étendre sur le tapis et roupiller un peu. 12h15: sandwich au poulet et Sprite pour moi, sandwich à la dinde et soupe pour Normand. À 13h30 j'entends «the Caribbean Airlines fly 600 for Toronto... at 4 p.m». N'oublions pas, je comprend pas l'anglais! Normand va donc vérifier sur le tableau des départs; il n'y a rien de changé. Le départ est toujours inscrit pour 14h35. Mais comme il n'y a aucune activité au comptoir d'embarquement, et qu'en principe nous embarquons une heure avant le départ, Normand va voir au comptoir de Caribbean... Et oui, L'AVENTURE commence. Le départ est bien retardé à 16h00 car, selon leurs dires, nous attendons un pilote qui arrive de New-York!!! Bon, calcul vite fait... vol de 6 heures, ça fait une arrivée à Toronto à 22h00, la récupération des bagages et départ à 23h00. Ça va être juste.
Assez bizarrement, l'embarquement ne commence qu'à 15h45 et, en plus, ils refouillent tous les bagages à main ainsi qu'une fouille au corps. Comme si j'avais pu me procurer des choses illégales dans la zone d'embarquement sécurisée??? C'est évident qu'ils essaient d'étirer le temps. Les gens deviennent de plus en plus impatients. Une fois bien assis dans l'avion, nous avons, encore, attendu 1.5 heure avant le vrai décollage, à 17h25. Et bien là, c'est évident que nous ratons la connexion de 23h00 pour Montréal. J'ai finalement hâte de voir la suite.
Entre deux couches de nuages, lors du décollage.
Un seul nuage en altitude (cumulus), qui ressemble à un geai bleu.
Au moins j'ai eu la chance de voir un ciel magnifique, lors du couché du soleil.
Finalement, nous avons appris la vrai raison du retard de notre vol. Plus tôt, soit à 11h00 ce matin, un vol de Caribbean Airlines a quitté Trinidad en direction de Toronto, avec une escale en Guyane. Une fois les gens débarqués en Guyane, ils se sont aperçus que le vol pour Toronto était pratiquement vide et, plutôt que payer pour ce vol, la compagnie a préférée ramener les gens à Trinidad, et les inclurent dans notre vol qui n'était pas plein. Au final, ça fait un gros paquet de gens frustrés!
Les agents de bord en avaient plein les bras de commentaires et "rouspettages". Ils ont bien tentés de nous tenir occupés avec distribution de couvertures, puis, les écouteurs pour la musique. À 18h15, début de la distribution du repas: riz au poulet avec «chips» de bananes. Les écrans descendent vers 19h00 avec de la publicité puis, à 19h30 le film «Oz the magnifiant». Normand le regarde et je tente une sieste après mon café. À 21h00 c'est à nouveau une distribution de breuvage puis, à 22h45, le pilote annonce que nous serons à Toronto dans 10 minutes. Nous touchons le tarmac à 23h05, complètement crevés, et... là, j'ai vraiment hâte de connaître la suite. Comme d'habitude, je sors en dernier, mais nous devons attendre pour une chaise roulante, car nous sommes plusieurs handicapés. Normand me laisse en attente le temps de s'enquérir de la suite des choses. Il revient à peine 5 minutes plus tard avec tous les papiers requis pour la suite: deux billets d'avion pour un départ ce matin (nous sommes rendus le 15 mai) à 6h30 avec Air Canada, 1 nuit à l'hôtel et le petit-déjeuner payé. Nous sommes donc amenés en «car» de golf au carrousel, pour la récupération de nos bagages puis, comme nous devons être de retour à l'aéroport vers 4h30, nous avons hésités à nous rendre à l'hôtel mais, ne serais-ce que pour la douche, pourquoi pas? Nous y arrivons à 00h35, après 5 minutes d'autobus et, comme nous sommes 5 couples, nous n'arrivons à notre chambre #124 qu'à 00h50. Le temps de ma toilette, je m'installe dans un des deux lits queen à 1h15. Wow! Quel dommage que nous n'y soyons que quelques heures: le matelas est tellement confortable et, les oreillers, d'une souplesse et d'un confort jamais connu à date.
Le «wake-up call» est à 3h45 et nous quittons l'hôtel à 4h15. Tout a bien été jusqu'à l'arrivée à la douane... J'ai eu droit à une fouille au corps, supposément parce que ma canne ne passait pas dans leur super rayon X? C'est bien la première fois que j'entends une chose semblable. Par la suite, un gentil agent de la GRC a pris la peine de tout inscrire ma longue liste de médicaments... Ouf! Une chance que nous étions en avance. Ce fût ardu, mais bon... la critique est tellement facile quand ça va mal, soyons reconnaissant lorsqu'ils font leur travail. Comme nous n'avions pas déjeuner (même s'il était supposément payé, il ne débutait qu'à 6h30 à l'hôtel!!!), nous nous sommes arrêtés dans un Tim Hortons afin de se sustenter un peu. À 6h10 nous prenons place à bord et l'avion. Celle-ci avance lentement en ligne avec les autres, mais ils sont tous en attente car il y a des orages qui empêche le décollage. Finalement, le décollage se fait à 6h55, soit 25 minutes plus tard que prévu mais, à 7h05, durant la montée, un éclair frappe l'aile gauche de l'avion... Un peu de turbulence... quelques cries... l'éclairage diminue dans la cabine... et l'avion reprend de l'altitude pour poursuivre ça route. Vous savez, malgré tout, j'avais les yeux rivés sur le hublot, pour admirer le spectacle des milliers d'éclairs dans le ciel.
Rien de spécial à signaler par la suite. Atterrissage à 7h25, récupération des bagages, taxi, et à 9h30 nous étions à Cartierville.
Un merci tout spécial à ma sclérose en plaques, qui m'a appris à vivre dans l'instant présent, car je ne sais jamais comment je serai demain.
Et, un autre merci à la navigation, qui m'a appris que, malgré toutes les planifications possibles, il faut être prêt à toutes éventualités...
lundi 13 mai 2013
De St-Martin à St-Vincent et les Grenadines (SVG)
Après 5 semaines dans les Îles Vierges, surtout américaines, car à peine 3 jours aux Îles Vierges britanniques, la météo était favorable pour une traversée vers St-Martin. N'oublions pas que, selon la position des îles des Antilles, nous avons encore un cap vers l'Est (les alizés dans l'nez) jusqu'à St-Martin. Après... ça devrait déjà être mieux, quoique parfois avec du près très serré.
Nous sommes donc allés nous positionner à Prickly Pear Island, Gorda Sound de Virgin Gorda (18°30'.382N 064°22'.377W) afin d'avoir un meilleur angle pour cette traversée. Nous avons levé l'ancre jeudi le 28 février à 14h15 donc, une traversée de nuit pour 85 miles. Normand a pris la garde et je me suis étendue jusqu'à mon tour de garde, à 19h00. Nuit super calme et tranquille, grande voile et moteur. Tel que prévu, le vent s'atténuait à mesure que la fatigue s'installait (je n'avait pas réussi à faire ma culbute de nuit, car avions prévu quitter vendredi). J'ai quand même lu une bonne partie de la nuit.
Levé du soleil sur St-Martin/Sint-Maarten le matin du 1er mars.
Nous sommes arrivées à l'ancrage dans la baie de Marigot à 6h00 (18°03'.968N 063°05'.837W). J'ai fait une petite sieste jusqu'à ce que Normand me réveille, à 8h00, pour prendre le pont de 8h15. Celui-ci ouvre, du côté français, à 8h15/17h30 et 14h30 sauf les dimanches et jours fériés. En traversant le pont, nous sommes dans ce qu'on appelle «le lagon» (Lagon de Simpson Bay de son vrai nom). On se dirige alors dans la section qui s'appelle La Baie Nettlé, pour se mettre à l'ancrage (18°03'.672N 063°06'.985W). C'est la section qui regroupe un grand nombre de Québécois. Comme le lagon est séparé entre les deux pays (France et Hollande), la réglementation diffère aussi entre les deux territoires. Aucun problème d'ancrage du côté Français, mais il y a des frais si l'on s'ancre du côté Hollandais. Pas besoin de vous dire que tous les voiliers sont ancrés du côté Français.
Les prochaines photos sont quelques prises faites du ciel, durant notre séjour dans le lagon.
Ici, je vérifiais la stabilité de l'image de ma caméra. N'oublions pas qu'un trépied ne m'est vraiment pas utile dans un voilier!
Sur les 3 prochaines photos, on aperçoit une nouvelle activité offerte par l'hôtel Le Mercure (à côté de notre ancrage). Je n'arrive pas à me souvenir du nom, mais il me semble qu'il y avait le mot «air» dedans, et le coût est de 75 Euro/30 min. (environ 110$ US). Il semble assez difficile de maintenir la position verticale, car il y a une forte pression d'eau qui sort des espèces de bottes, et la personne doit s'aider avec les deux pistolets à eau qu'elle tient dans ses mains. La pression est faite grâce au moteur de la moto-marine.
Assez spécial comme activité, mais beaucoup trop dispendieux pour si peu.
Couché de soleil à Deshaies.
Un petit grain au loin.
Ciel du soir, du cockpit de Sweet Madame Blue.
Le mercredi 27 mars, on levais l'ancre pour se rendre dans Les Saintes, au Sud de la Guadeloupe. Une petite navigation, à moteur, le long de la côte Ouest de la Guadeloupe, puis un peu de voile pour le 5 miles à faire jusqu'à L'Îlet de Cabrit, où nous avons pris la boule d'ancrage #60 à 16h45 (15°52'.466N 061°35'.828W).
Normand revient de sa promenade du matin.
Le 30 mars à 8h30, nous étions rendus au Marin en Martinique.
Notre voisin d'ancrage. Un genre de voilier que j'aimerais bien.
Après une soirée bien arrosée? Même pas. Trop chaud à l'intérieur pour dormir, et trop de clarté dehors; j'étais en train de lire dans le cockpit. C'est encore la preuve qu'il est capable de dormir dans n'importe quelle condition, et surtout la nuit, même lorsqu'il est à la roue.
Un bateau que nous avons croisé à la sortie du Marin. Il fait une livraison de bateaux et de voiliers. Une autre façon de changer de continent, sans subir les aléas de la navigation de plusieurs jours.
Depuis notre ancrage à St-Anne, Martinique. On aperçoit le soleil entre Le Diamant, à gauche, et la Martinique.
Une fois à St. Lucie, nous avons retrouvé Johanne, Marcel et Canelle du voilier «Au gré des vents». J'ai réussi à garder Canelle un après-midi. Vous voyez comment le bonheur peut être simple: un bon livre, un café et un animal en confiance.
Des jeunes qui s'initie à la voile, à Bequia (SVG). Disons qu'ils semblaient assez expérimentés.
Bateau échoué à la pointe Nord-Ouest de Bequia.
Ciel du soir, depuis les Tobago Cays.
Quelques voisins d'ancrage, lors de notre séjour aux Tobago Cays. Vous voyez sur cette dernière photo la distance à parcourir pour se rendre à son puits d'ancre? Imaginez l'intérieur... ça doit être quelque chose à visiter.
Ici on voit bien la popularité des Tobago Cays. L'ancrage se fait derrière une barrière de corail, donc à l'abri de la vagues du large, mais nous profitons des alizés pour nous rafraîchir, et la plongée en apnée est extraordinaire.
dimanche 28 avril 2013
Photos des Îles Vierges
Whisper Cove marina, la veille de notre départ, le 17 janvier 2013.
Couché de soleil au large de la Martinique, le 19 janvier 2013.
Une averse nous est tombée dessus au début du remorquage, et a duré jusqu'à ce que le voilier soit bien amarré au quai de service de la marina Rivière Sens, à Basse-Terre, Guadeloupe. Mon p'tit poussin a dû donner un coup de main pour attacher le câble autour du mât.
Lorsque nous approchons de la marina, le «towing boat» se met à l'épaule (les deux bateaux attachés ensemble, côte à côte) afin de nous diriger vers le quai.
Le soirée s'installe, Marina Rivière Sens.
En navigation entre la Guadeloupe et St-Thomas. Comme s'est moi qui fait la navigation de nuit, Normand dort dans le cockpit afin de m'aider en cas de communication radio en anglais (j'y comprend toujours rien dans cette langue). Et bien, pour la première fois, une vague de travers l'a fait chuter sur le plancher du cockpit. Une fois là... ben il continu sa nuit de sommeil. Il peut vraiment pas se ramasser plus bas.
Les hydravions, qui font la navette entre les îles, atterrissent et décollent entre les voiliers, dans la rade de Charlotte-Amalie, St-Thomas. C'est assez impressionnant.
Et parfois assez périlleux. Vous voyez l'annexe à droite? J'ai l'impression que le gars se demande s'il a le temps de passer.
Oups! Mauvais calcul?
Pleine lune de janvier à Charlotte-Amalie, St-Thomas.
Les bateaux de croisières doivent régulièrement faire des exercices d'évacuation. Celui-ci a des «canots de sauvetage» qui ressemble à un autobus.
Et ça ressemble à ça, lorsqu'ils doivent descendre tous leurs canots à l'eau.
La farniente pouvait ressembler à ça...
Ou à ça. Il entretenait son «tan».
Un bateau de croisière avec une réplique du stade olympique? J'espère pour lui qu'il ne vivra pas les mêmes problèmes que nous avons connus avec le nôtre.
Mon rocker de mari.
Les montagnes du parc de St. John, USVI. Nous sommes à une boule d'ancrage de Francis Bay.
Nous sommes dans les USVI (Îles Vierges Américaine) et, la montagne à 5 miles de notre mouillage, c'est Tortola, dans les BVI (Îles Vierges Britannique).
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