mercredi 14 janvier 2015

Photos de l'engin...





Pour ceux qui n'ont pas lu la note précédente, ne vous inquiétez pas, ce n'est pas «Sweet Madame Blue» qui s'est transformée.
Allez lire ma note du 12 janvier, tout sera plus clair.

Un gros merci à Sylvain pour ces photos. Dans mon euphorie de m'envoyer en l'air avec toi, j'avais oublié de prendre ton engin en photo.

lundi 12 janvier 2015

À vol d'oiseau


Soyez le bienvenu à bord de mon aventure M. Prou... Prou... Prouesses. C'est pas «Zazou» dans fusée XL-5 qui répétait toujours «Soyez les bienvenues»? Faute d'être sur la fusée XL-5, j'aime bien aussi la tienne, ta fusée... Enfin, je parle bien sûr de ton engin...Là, j'ai l'impression que je me cale. Je veux dire, ton avion, évidemment.
   
Et oui. Pour finir l'année en beauté, nous avons eu un beau cadeau de notre copain Sylvain; une petite promenade à bord de son Cessna 182 Skylane, histoire de survoler les îles entre Grenade et Bequia. J'ai troqué XL-5 de mon émission jeunesse, contre le vrai C-FQLZ.

Voici les îles que nous allons survoler. Nous partons de l'extrême Sud-Ouest de Grenade.


C'est donc le lundi 29 décembre que Normand et moi avons eu le privilège de vivre cette merveilleuse aventure.
On se rend alors à l'aéroport de Grenade, à 12h30, afin d'y retrouver Sylvain. Après quelques formalités de sécurité, on se rend à son avion. J'assois Normand à l'avant, car j'ai une meilleure visibilité à l'arrière pour faire de la photo.  


Les vérifications d'usage.


Nous quittons ensuite, direction piste de décollage.


Nous roulons sur la piste, vers notre envolée.


Au loin, Glover Island.
Le plan de vol étant de longer la côte Sud de Grenade, en direction Est, puis de remonter le long de la côte Est.




Complexe Universitaire.


L'ancrage de Prickly Bay. Ce n'est pas dans cette baie que nous sommes.


Si vous agrandissez la photo, vous verrez le bateau de croisière ancré à St-George's, la capitale.


Calivigny Island. C'est près d'ici que nous sommes.
Cette île appartient à un particulier qui la développe pour la louer aux intéressés.

Beaucoup de nuages en remontant la côte Est de Grenade.

La grosse île, en haut à droite, c'est Petite Martinique (aucun rapport avec La Martinique. Ils manquaient probablement d'originalité!). À sa gauche, en forme de poisson, c'est Petit St-Vincent et, les deux petits «spots» de sable dans le bas, c'est «Morpion» à gauche, et «Punaise» à droite. 

«Morpion» Island de plus près.

Les Tobago Cays.

Les îles principales des Tobago Cays et la barrière de corail. Il s'agit d'un parc, donc, aucune habitation. Il y a un peu de ravitaillement par les «boats boys» depuis l'île d'Union, et un très petit restaurant de plage.

L'île de Canouan.

Admiralty Bay, Bequia.

Mustique (ou Moustique). Quelques richissimes célébrités du showbizz et du jet-set international y ont un pied-à-terre (Mick Jagger, Raquel Welch, David Bowie, la Princesse Margaret, etc...), d'où son surnom de «l'île aux milliardaires».   

Une des belles plages de Mustique.

Retour au-dessus de Canouan. Je ne la croyait pas si peuplée. Il faut dire qu'il s'y trouve plusieurs «Resort» de grand luxe.

En bas de la photo, l'entrée des Tobago Cays, le long de l'île de Petit Bateau.

Le toit rouge? C'est le resto de la plage

Mouillage au Sud de Baradal.

D'un autre point de vue.

Tobago Cays derrière nous... On revient à la «maison».

Palm Island. Complexe hôtelier haut de gamme et privé.

L'île d'Union.

Retour sur Grenade. On aperçoit, au loin, la piste d'atterrissage.

Préparation à l'atterrissage... Le pilote se concentre.

On descend...

Encore plus bas et...

Touch down.

vendredi 2 janvier 2015

Des nouvelles du Sud


Enfin diront certains. Mais, tout d'abord, laissez moi vous souhaiter une année 2015 pleine de bonheur. Je vous souhaite aussi de savourer tous les petits moments de la vie, car ce sont eux qui font partis de ce bonheur tant recherché.

C'est finalement le 2 décembre, à 6h00, que nous avons pris notre envol pour notre résidence du Sud.


Les bagages dans l'entrée, avant notre départ (ils ne sont pas tous là).

Comme il faut arriver 3 heures d'avance (qu'ils disent), nous avons quitté le logement à 2h30 et, malgré les bonnes intentions, la préparation de la veille et les bagages déjà bouclés, la sieste fût impossible avant le départ.
En plus, avec les nouveaux frais de bagages, payables au comptoir d'enregistrement, ça prend beaucoup plus de temps pour l'enregistrement. Donc, attention lors de l'achat de billet d'avion. T'as l'impression que les prix ont baissés, ce qui devrait être normal avec la baisse du prix du baril de pétrole, mais non, c'est un leurre.
Avec American Airlines les coûts sont de $25,00 + $1,50 de frais (mais on sait pas vraiment de quel frais il s'agit) pour la 1ère valise, de chaque passager, dans la soute, puis, $40,00 + $1.50 de frais pour la 2e valise, toujours dans la soute. Aucun frais pour les bagages de cabine, mais des restrictions de grandeur et de quantité. Je ne suis vraiment pas certaine s'ils prennent de l'argent comptant (ça prendrait une caisse avec beaucoup de monnaie). Tous les passagers que j'ai vu payaient avec une carte.
Après, direction la fouille des bagages de cabine et de nous puis, comme on passe par Miami, les U.S. Customs. Une fois dans la zone «tampon», un p'tit jus et l'embarquement.
Normand dormait avant que l'avion prenne son envol.


Avec la quantité de nuages, je n'ai réussi qu'à photographier ce lever du soleil.

Après... un p'tit roupillon.
Arrivons à Miami à 9h45 et, après 8 heures d'attente, repartons pour Grenade. Atterrissage à 21h50, douane et immigration, puis direction Hôtel La Sagesse. Nous y sommes à 23h00.

Nous arrivons à notre voilier, sur le chantier de Grenada Marine, le lendemain midi. Il fallait quand même récupérer un peu avant les travaux d'ouverture de notre maison flottante.


Normand s'attaque à l'annexe (notre voiture), afin de lui redonner fière allure.


Un peu de cirage ici...


Un peu de frottage là.
Pendant ce temps, je m'occupe de l'intérieur.


Nous faisons faire les travaux d'application de la peinture anti-salissure par la marina, ainsi que le nettoyage et cirage de la coque.

Après 14 jours, le voilier est fin prêt à sa mise à l'eau. 


Mais, comme vous pouvez voir, nous sommes bien «coincés» entre deux voiliers.


On voit la roue de la remorque qui doit nous sortir avant que le «lift» nous soulève pour la mise à l'eau.
Aussi, un p'tit coucou à notre copain Jacques du voilier «Mayero». T'inquiète, on avait un oeil sur ton voilier.



Sweet Madame Blue toute propre et belle pour son hiver.

Et, pour terminer, voici une nouvelle «amie».

Une belle Mante Religieuse.

Elle a l'air surprise de voir des hurluberlus dans un immense «aquarium» de plastique.

Nous sommes donc au quai de Whisper Cove Marina depuis le 17 décembre.